Punaises, puces, guêpes, abeilles,… Les insectes piqueurs sont nombreux,
sans compter les tiques et araignées. Leur piqûre est motivée par la
recherche de sang pour les femelles ou comme arme de défense ou
d’attaque.
Parmi les diptères piqueurs présents dans les régions septentrionales, on distingue principalement ceux-ci.–
Les moustiques (maringoins au Québec). Hauts sur pattes, au vol bruyant
comme équipés d’une sirène pour le vol en piqué, ils sont
particulièrement actifs au lever et au coucher du soleil, du mois de
juin à fin juillet. Ils infestent les eaux dormantes.
– Les mouches noires (simulies, black flies) au corps trapu, de petite taille (quelques millimètres) apprécient les eaux vives. Discrètes, adeptes du vol furtif, elles arrivent plus tardivement dans l’été et restent actives jusqu’aux premières neiges. Les mouches noires, ne piquent pas, mais déchirent l’épiderme pour y pomper le sang, particulièrement dans la zone du cou, l’arrière des oreilles.
– Les « brûlots » (midges) de la famille des Cératopogonides sont minuscules (de l’ordre du millimètre). Ils peuvent ainsi passer à travers une moustiquaire ordinaire, mais ne peuvent piquer au travers d’un vêtement. Comme leur nom l’indique, leur piqûre laisse une sensation vive de brûlure.
Afin de ne pas gâcher un voyage au Vietnam , il est important de s’informer avant de partir sur les risques dus aux piqûres de ces insectes. Une fois sur place, connaître les précautions à prendre et les soins à apporter vous aidera grandement.
Dans quelles régions ces insectes posent-ils problème?
La majorité de ces insectes prospèrent dans les régions humides. Les zones infestées se trouvent essentiellement dans les régions tropicales et subtropicales ainsi que dans les régions boréales (pays nordiques, Canada, Sibérie, etc.) où la présence de pergelisol combinée à une faible évaporation ne permet pas un drainage efficace des sols, même sur les pentes.
Quel est le risque?
Dans les régions boréales, en dehors d’une gêne certaine, le seul risque, relativement faible est une allergie, en cas de nombreuses piqûres (ex : simulies). Il est alors assez facile de se protéger, comme les populations locales, en prenant un minimum de précautions et de « vivre avec ».
Dans les zones chaudes, ces insectes sont le vecteur de maladies bien plus fréquentes et graves : paludisme, dengue, cécité des rivières, etc. Il convient alors impérativement de se protéger efficacement (voir ci-dessous) tout en suivant les traitements préventifs indiqués.
– Pour les mains et les poignets, si la zone est moyennement infestée, un simple répulsif pourra suffire (citronnelle, lavande, essence de tanaisie, etc.). Dans les zones infestées, deux seules solutions pour les mains et les poignets : les gants ou un répulsif puissant et longue durée (jusqu’à 4 heures) à base de DEET (diéthyl-toluamide, par exemple Watkins à 30 %). Cette substance toxique agit en bloquant les récepteurs qui permettent aux insectes de déceler la présence de CO2 émis par la victime. Il convient cependant de ne pas en abuser, car ce produit très actif peut irriter la peau (il fait fondre certaines matières plastiques : bracelet de montre, etc.).
– Pour la tête et le cou, il faut utiliser ce produit avec modération, en se contentant d’une couche mince pour le front et les joues. Si cela ne suffit pas, il est conseillé d’enfiler une moustiquaire de tête en mousseline légère qui ne quitte jamais la poche du coupe-vent. L’inconvénient de cette dernière est une visibilité amoindrie particulièrement gênante en fin de soirée si on doit encore se déplacer.
– La toilette du soir, à l’heure de la curée, est souvent un exercice difficile. On pourra la faire dans sa tente ou sous sa moustiquaire, à l’aide d’une cuvette ou de lingettes. On peut aussi se baigner et se savonner tout habillé. Une opération tout en un : toilette et lessive !
– Dans les zones infestées, il est indispensable, de dormir dans un lieu protégé par une moustiquaire (tente, de lit, etc.) imprégné ou non de produit répulsif. Dans tous les cas, il faut s’assurer que le volume est « clair » avant de s’endormir.
– Les mouches noires (simulies, black flies) au corps trapu, de petite taille (quelques millimètres) apprécient les eaux vives. Discrètes, adeptes du vol furtif, elles arrivent plus tardivement dans l’été et restent actives jusqu’aux premières neiges. Les mouches noires, ne piquent pas, mais déchirent l’épiderme pour y pomper le sang, particulièrement dans la zone du cou, l’arrière des oreilles.
– Les « brûlots » (midges) de la famille des Cératopogonides sont minuscules (de l’ordre du millimètre). Ils peuvent ainsi passer à travers une moustiquaire ordinaire, mais ne peuvent piquer au travers d’un vêtement. Comme leur nom l’indique, leur piqûre laisse une sensation vive de brûlure.
Afin de ne pas gâcher un voyage au Vietnam , il est important de s’informer avant de partir sur les risques dus aux piqûres de ces insectes. Une fois sur place, connaître les précautions à prendre et les soins à apporter vous aidera grandement.
Dans quelles régions ces insectes posent-ils problème?
La majorité de ces insectes prospèrent dans les régions humides. Les zones infestées se trouvent essentiellement dans les régions tropicales et subtropicales ainsi que dans les régions boréales (pays nordiques, Canada, Sibérie, etc.) où la présence de pergelisol combinée à une faible évaporation ne permet pas un drainage efficace des sols, même sur les pentes.
Quel est le risque?
Dans les régions boréales, en dehors d’une gêne certaine, le seul risque, relativement faible est une allergie, en cas de nombreuses piqûres (ex : simulies). Il est alors assez facile de se protéger, comme les populations locales, en prenant un minimum de précautions et de « vivre avec ».
Dans les zones chaudes, ces insectes sont le vecteur de maladies bien plus fréquentes et graves : paludisme, dengue, cécité des rivières, etc. Il convient alors impérativement de se protéger efficacement (voir ci-dessous) tout en suivant les traitements préventifs indiqués.
– Pour les mains et les poignets, si la zone est moyennement infestée, un simple répulsif pourra suffire (citronnelle, lavande, essence de tanaisie, etc.). Dans les zones infestées, deux seules solutions pour les mains et les poignets : les gants ou un répulsif puissant et longue durée (jusqu’à 4 heures) à base de DEET (diéthyl-toluamide, par exemple Watkins à 30 %). Cette substance toxique agit en bloquant les récepteurs qui permettent aux insectes de déceler la présence de CO2 émis par la victime. Il convient cependant de ne pas en abuser, car ce produit très actif peut irriter la peau (il fait fondre certaines matières plastiques : bracelet de montre, etc.).
– Pour la tête et le cou, il faut utiliser ce produit avec modération, en se contentant d’une couche mince pour le front et les joues. Si cela ne suffit pas, il est conseillé d’enfiler une moustiquaire de tête en mousseline légère qui ne quitte jamais la poche du coupe-vent. L’inconvénient de cette dernière est une visibilité amoindrie particulièrement gênante en fin de soirée si on doit encore se déplacer.
– La toilette du soir, à l’heure de la curée, est souvent un exercice difficile. On pourra la faire dans sa tente ou sous sa moustiquaire, à l’aide d’une cuvette ou de lingettes. On peut aussi se baigner et se savonner tout habillé. Une opération tout en un : toilette et lessive !
– Dans les zones infestées, il est indispensable, de dormir dans un lieu protégé par une moustiquaire (tente, de lit, etc.) imprégné ou non de produit répulsif. Dans tous les cas, il faut s’assurer que le volume est « clair » avant de s’endormir.